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Bertrand Belin

Bertrand Belin offre les sonorités de ses mélodies qui soulignent la poésie des mots qui se succèdent dans un rythme lent et nonchalant, avec pour résultat des pièces d’orfèvrerie musicale. Cela rappelle les sonorités de mythiques chanteurs du rock et de la New Wave français  tels Bashung et Daho.

Avec aisance, sur la scène du Détour accompagné de sa guitare et de ses musiciens il remporte les suffrages du public enthousiaste en les entraînant dans son univers.

Flavien Berger

Sur la scène des Arches, s’égrenent des notes électro-pop et seul sur scène Flavien Berger, soutenu par ses claviers, déroule son son, ses textes et ses vocalises. Le public attentif réagit, danse et écoute. C’est une nouvelle partie d’un jeu qui commence avec le rythme qui s’accélère à mesure et le public avec qui il joue se déchaîne malgré la chaleur intense sur la plaine de l’Asse en ce début de soirée.

-M-

Elle est comme électrifiée, hypnotisée cette plaine de l’Asse, elle chante, vibre et respire à l’unisson pour -M- avec –M-.

Ce sont des moments forts et vrais qui sont partagés, un échange avec le public qui reçoit ce cadeau et offre en retour ses vibrations positives dans un message d’amour, de vie et d’humanisme. Un public qui à l’unisson s’embrase littéralement devant la maestria de ce musicien hors pair. Des instants magiques et un concert époustouflant a lieu sur la grande scène. Un feu d’artifice musical dont l’énergie n’a d’égale que le talent, une parenthèse extraordinaire dans un espace temporel différent et unique.

The Mauskovic Dance Band

Ils sont cinq sur la scène du Détour pour partager une musique ethnique ensoleillée et colorée qui mêle des sons électro fusionnant des rythmes de Soca, cumbia et d’autres teintes afro-cubaines. Ainsi dans le public qui est présent et nombreux, les pieds bougent naturellement accompagnés de déhanchés sur ces rythmes endiablés où le groove devient hypnotique. Pari gagné !

Les Trois Accords

Ils sont venus du Québec, à quatre et ont emporté dans leurs bagages entre-autres leur sens de l’humour décalé. Sur des airs rock, avec entrain et dynamisme, sur scène ils nous content des histoires savoureuses et surréalistes. C’est un réel régal de fraîcheur qui souffle sur le Dôme. Ainsi le public nombreux qui les ovationne à chaque titre reprend en cœur les paroles en chantant à tue-tête.

Gaye Su Akyol

Dans un pur esprit manichéen, ils sont quatre musiciens masqués et costumés de noir qui accompagnent une amazone. L’ange  chante des hymnes traditionnels aux douces consonances orientales sur des mélodies modernisées en version électro-punk rock alternatif qui sont jouées par les démons-musiciens, ce qui objectivement souligne encore cet esprit manifeste d’opposition. Le public devant la scène du club tent apprécie le voyage musical original vers Istanbul. Contestation et  manifestation sont exprimées par le langage universel de la musique et ça déménage.

©Photos Eric Frachon & Texte MF pour ShowMediaLive